LA TRIBUNE de GENEVE, du 6 février 2024, à compléter

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LE CANARD ENCHAÎNE, du 17 janvier 2024

Article de Jean-François Julliard

 

France-Culture, le mardi 25 avril 2023, de 12 h 40 à 13 h 30, le Book Club de Nicolas Herbaut. Gisèle Bienne parle des Larmes de Chalamov avec Michaël Prazan qui, lui, parle de son livre Varlam.

Varlam Chalamov, récits croisés

Mardi 25 avril 2023

 

Varlam Chalamov, récits croisés via 

@franceculture https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-book-club/varlam-chalamov-recits-croises-9360806

 

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Publications BABELIO

Partagé avec Public
 Chaleureuse INVITATION à lire cette magnifique chronique des "Larmes de Chalamov" sur BABELIO. Elle me touche autant qu'elle suscite notre enthousiasme :
babelio.com
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=6168434299913774&id=10000241796
Critique de Les larmes de Chalamov - Gisèle Bienne par fanfanouche24
Réservé près de ma librairie de quartier dès sa sortie le 5 avril 2023 Plus qu' une pépite...un `diamant brut` de la Littérature et de l'...
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❤️ Coup de coeur ❤️
"Les larmes de Chalamov", Gisèle Bienne, Actes Sud
Dans le froid sibérien, un homme se tient. Il n’est pas héroïque. Il est un grain de s…
Voir plus

 

Coup de coeur de la librairie COMPAGNIE, Paris.

Coup de coeur de la librairie Le Divan, Paris.

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LE MONDE DES LIVRES du 6 avril 2023

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Le Matricule des Anges, Thierry CECILLE

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Libération, "Le cahier des livres", du 10-12 avril 2023, Claire Devarrieux

 

http://jclebrun.eu/blog/sommaire/

Onglet « Dernières chroniques »

06/04/2023 Gisèle Bienne « Les Larmes de Chalamov »

A coup sûr, en résonance avec une certaine actualité, l’une des lectures indispensables de ce début d’année.

Territoires romanesques 2023

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RECOMMANDATION DÉCOUVREURS. LES LARMES DE CHALAMOV

C’est à la belle et douloureuse figure de ce miraculé des camps que fut Varlam Chalamov que s’intéresse Gisèle Bienne dans son dernier livre qui succède à La Malchimie, récit par lequel elle dénonçait à partir de la mort de son propre frère, ouvrier agricole, le système agro-industriel empoisonnant cyniquement à coups de pesticides les sols et les organismes.

Comme à son habitude c’est à partir d’une riche et vaste documentation mais qui jamais ne pèse que le travail de Gisèle Bienne nous permet d’approcher autant bien sûr qu’il est possible le mystère de cette personnalité. (...)

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Dans la revue EUROPE,

n° 1129, mai 2023, pp. 334-336,

une chronique de Colette Camelin.

 

 

 

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TRANSFUGE, à compléter

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L'UNION, Gilles GRANDPIERRE

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Journal LIBERATION

Sélectionné pour le prix littéraire LOUIS GUILLOUX     

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Le 8 avril 2022, Grandir avec le Stade de Reims,

Médiapop éditions, collection "Le club des écrivains".

 

Gisèle Bienne va droit au but

 

La romancière rémoise se souvient du stade de Reims de la grande époque ; celle de Kopa, Piantoni et Fontaine. C’est savoureux, intime et très littéraire.

 

On ne le répétera jamais assez : la romancière et essayiste rémoise Gisèle Bienne (Marie-Salope, éd. des Femmes, 1976 ; La Ferme Navarin, Gallimard, 2008  ; La remorque de paille, Noires Terres, 2021) a bien du talent. Elle le prouve, une fois de plus, avec ce succulent petit récit, Grandir avec le Stade de Reims, dans lequel elle se souvient du célèbre club champenois – fort du trio Fontaine, Piantoni, Kopa – quand celui-ci était le meilleur de France et symbolisait, à lui-seul, ce qui eût pu être une équipe nationale rêvée.

« Ce serait comme manquer un rendez-vous amoureux.

 

 


Un passionnant compte rendu de Jean-Michel COFFIN à propos de "Grandir avec le Stade de Reims", historique, littéraire, documenté, intime aussi, pour tous les lecteurs - les sociologues et les philosophes y trouveront une riche matière concernant les rapports entre le jeu et l'art.
encreviolette.unblog.fr

 

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Le Choix d'Elise, Elise Fischer,

sur France Bleu Lorraine.

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L'UNION, par Olivier DURAND


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Le samedi 26 mars 2022, 62 rue des Archives,  75003 Paris, au Musée de la chasse et de la nature, de 16 h 30 à 17 h 30, dans le grand salon et dans le cadre du Salon du Livre "Lire la nature", je suis invitée à débattre avec Corinne Royer sur ce sujet riche en échanges  : "Alerte sur le monde paysan". A bientôt.


Invitée au salon du Livre de Creil le dimanche 21 novembre 2021. Débat autour de ses derniers livres dont L'homme-frère à 14 h : Entretien avec Alexandra Oury, journaliste littéraire

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Invitée au colloque international de Gand par l'Université de Gand, Belgique : "L'imaginaire écologique contemporain : littérature et environnement", du 29 novembre au 1er décembre.

Gisèle Bienne y donne une conférence plénière, "Les pouvoirs d'une maison", le mardi 30 novembre, de 16h50 à 18h10.


La Remorque de paille, roman, éditons Noires Terres,

en librairie et chez l'éditeur-photographe Jean-Marie-Lecomte

mail jml.lpa@wanadoo.fr   Tel  03 24 27 56 69

https://www.noires-terres-direct.com

De la cour du collège où elle est interne, elle voit derrière les grilles passer son père au volant d’un tracteur tirant une remorque de paille. Surprise, elle ne bouge pas. Il va s’arrêter et lui faire signe. La paille, c’est tant de souvenirs, c’est le pays d’où elle vient, où elle n’est plus. Non, il ne s’arrête pas. Les grilles désormais les séparent. Alors Mathilde bascule dans un autre temps. C’est le début d’une aventure intérieure qui va trouver à se réaliser de manière tout à fait imprévisible.
« Ce moment où il est passé sans me voir ne passe pas. Il avait ralenti, me cherchant sans doute des yeux et je suis restée sans réaction. Je n’ai pas tenté le plus petit mouvement dans sa direction. Comme s’il m’arrivait d’un pays lointain et intime à la fois. Trop intime. Trop secret. Trop impénétrable. Trop troublant pour apparaître au grand jour et se laisser dévoiler. »

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"L'histoire tient en une journée mais sa persistance dure encore cinquante ans après" Par Gilles GRANDPIERRE. "La paille, donc, nous y voilà..."  "Enfance fugueuse. Magnifique !"

 Journal L'UNION

COURRIER PICARD

"Un étonnant voyage dans le temps"

et "une certaine petite musique..."

"Gisèle Bienne sur la paille... de l'enfance"

par Philippe LACOCHE.


L'HOMME-FRERE, Actes Sud, le 3 mars 2021

                    

       


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UN JOUR UN LIVRE : dans LIBERATION pour les lecteurs qui profitent de l'été pour s'adonner à leur plaisir, un article sur "L'Homme-frère" par Claire Devarrieux.


Le livre "Coup de coeur du mois" sur CONSEILS DE LECTURE INFO, de Jean-Pierre KUPCZYK, L'homme-frère, Gisèle Bienne, Actes Sud : "Qu'est-ce qu'une route de vie ?"

www.conseilsdelecture.info

QU'EST-CE QU'UNE ROUTE DE VIE ?

Avec son roman "L 'homme-frère" Gisèle BIENNE nous rappelle que la vie est essentiellement de l'ordre de la force subjective et de l'affectivité, ce que le Philosophe Michel Henry qualifiait de "vie phénoménologique absolue". Cette vie phénoménologique est par essence invisible parce qu'elle n'apparait jamais dans l'extériorité d'un voir mais se révèle en elle-même sans écart ni distance.

 

La narratrice Gabrielle est artiste, romancière et animatrice d'ateliers d'écriture. Elle est issue d'une famille nombreuse parents agriculteurs. Au décès du père dernier vivant, à la lecture de son testament, va se poser un problème d'héritage prémisse d'une procédure judiciaire actionnée par le frère aîné Marc. Gabrielle va refuser de cautionner un procès qui ne fera qu'anéantir un cercle familial déjà fragilisé antérieurement par des décisions parentales maladroites. En allant à la rencontre de souvenirs d'enfance, la mise en avant de l'importance du coeur qui bat face à l'aridité voire l'infertilité du "salaire différé" réclamé, Gabrielle apportera de l'eau à son propre moulin en reconstruisant "un pont" solide avec son frère cadet Sylvain, le déshérité, sa "part jumelle" (page 216).

 

Même si un auteur peut utiliser la fiction pour pousser le lecteur à avoir un regard critique sur le monde dans lequel il vit et en l'espèce sur la faillite des procédures judiciaires en famille, Gisèle BIENNE n'a pas écrit un livre moralisateur. L'ambition du roman est ailleurs : dire haut et fort qu'entre enfants, dans des scènes dont sont exclus les adultes, se font et se défont des alliances, se lient et se délient des pactes, se nouent et se dénouent des conflits fondamentaux pour la construction psychique de l'adulte en devenir. "Tout a commencé avec Sylvain dans le silence des débuts d'après-midi" (page 71).  "Oui, le mieux serait que je lui écrive avec nos mots d'autrefois, qu'il se trouve face à mes mots d'ancienne écolière qui l'aidait dans ses devoirs, cirait ses chaussures, les lui laçait, lui boutonnait sa veste, lui nouait son cache-nez, qui jouait au foot avec lui, l'attendait à la sortie de l'école et le tenait par la main sur le chemin de la maison" (page 170).

 

Le personnage de Sandra "schizophrène" donne une tonalité essentielle pour la compréhension du juste sujet du livre. Grâce à cette jeune fille de vingt-six ans que la perte de repères "loin de tous" a rendu plus que fragile, Gisèle BIENNE -par la voix de Gabrielle- vient nous donner une réponse à cette question : Qu'est-ce qu'une route de vie ? Certainement pas des "cassures", certainement pas des idolâtries, certainement rien de ce qui est mercantile et superficiel.

 

Enfin, grâce à l'intelligence de Gabrielle "la petite péquenaude",  la route de vie qui a pu prendre de mauvais virages, des segments lisses et plats, d'autres entrecoupés de passages cahoteux au risque de briser sa continuité, cette route de vie va tenir toutes les failles et les crevasses et même créer (ou recréer) un pont entre l'enfance et la fin de vie de cet "homme-frère" qui donne le titre au livre... Et comme disait Johann Wolfgang von Goethe : "l'homme le plus heureux est celui qui peut relier la fin de sa vie avec son commencement".

 

"L'homme-frère" de Gisèle BIENNE -auquel plus d'un lecteur va pouvoir s'identifier- est en vérité un roman d'Amour Universel, seul remède contre l'égocentrisme.  lire et à conseiller en excellente lecture tout autour de vous !

 

 

                                       Bonne lecture à toutes et à tous!

                                                                                                     Jean-Pierre KUPCZYK

Chronique de Jean-Claude Lebrun dans L'Humanité
L'homme-Frère, "Brecht en Champagne". L'HUMANITE du 29 04 2021

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La chronique littéraire de Jean-Claude Lebrun

"BRECHT en Champagne..."

 

"De la pièce de Brecht, une leçon cardinale en effet se dégage : les liens du sang importent moins que ceux du coeur et de l'éducation".

"L'écriture vibre de toute l'émotion retenue, suggérant ce qui jamais ne s'est dit. Admirablement juste et limpide, elle touche profond de bout en bout."

Une semaine, un livre, Françoise Ramillon.

Revue EUROPE, L'homme-Frère, Colette Camelin.

 

"Gisèle Bienne a l'âme en plaine", L'homme-Frère,

Gilles Grandpierre.

"Un côté d'ailleurs universel", L'homme-frère,

Monique Verdussen.

Les affiches Moniteur d'Alsace Lorraine, L'homme-frère, Geneviève Senger.

Le Pèlerin, L'Homme-Frère, M.F.

"Le cercle de craie", L'homme-Frère, Valérie Susset.

LILI au FIL des PAGES, L'homme-frère, Elise Fischer.


 

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Coup de cœur, L’oiseau-Lire, Visé, Belgique

L’Homme-frère, Gisèle Bienne,

Actes Sud
Toute l'âpreté du monde agricole

Ils sont sept frères et sœurs, petit peuple uni autour de la ferme familiale qui pourtant se déchirera au décès du père et lors du partage des biens. Gisèle Bienne, dans ce récit d’une force remarquable, raconte le monde agricole, les vaches à l’étable, les chevaux à l’écurie et les poules au perchoir. Elle dit l’âpreté du métier d’agriculteur et la sournoiserie de la maladie qui les guette pour n’avoir pu déceler derrière le mot « phytosanitaire » les dangers des produits que des multinationales les ont convaincus d’utiliser. L’homme-frère interpelle : qui parmi cette fratrie aura le privilège du choix de quitter ce monde-là ? Et puis, il y a Sandra, cette jeune femme dont la narratrice s’occupe, touchante dans sa précarité et sa poésie. L’homme-frère est un très grand roman qui nous dit que depuis La terre d’Emile Zola, rien n’a vraiment changé.

Cerfontaine Pierre

 

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Choisir & lire

BIBLIOTHEQUES  POUR  TOUS

L'homme-frère de Gisèle Bienne, Actes Sud.

Gabrielle, écrivaine, animatrice d'un atelier d'écriture, se rend aux obsèques de son père... (Se reporter à l'article.)


 France Info

France 3 Champagne Ardenne

 

Après son grand-père et la Première Guerre Mondiale, son petit frère et l'impact des produits phytosanitaires sur la santé des ouvriers agricoles « La malchimie », Actes Sud, l'auteure Gisèle Bienne publie « L'homme-frère » toujours aux éditions Actes Sud. https://www.francebleu.fr/emissions/la-champagne-ardenne-se-livre/champagne-ardenne/tensions-autour-d-un-heritage-gisele-bienne-signe-l-homme-frere-un-nouveau-roman. Plus d’informations sur https://www.francebleu.fr.

 

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AUTOUR de LA MALCHIMIE

Salons du Livre. Librairies. Lieux culturels. Rencontres.

A Avallon, dans L'Yonne, mercredi 19 février 2020, je serai à la librairie L'Autre Monde, 42 Grande Rue Aristide Briand , à 18h30 pour une rencontre-débat autour de mes livres, dont LA MALCHIMIE suivie d'un apéro de la région….

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A BAZANCOURT, dans la Marne, à La Filature, ce samedi 15 Février, vous êtes invités de 10 à 12h au "petit-déjeuner avec mon auteur". Ce sera avec Gisèle Bienne auteure de romans, récits et essais parus en littérature générale et dans le secteur Jeunesse. Venue partager un petit-déjeuner avec ses lecteurs et futurs lecteurs, l’écrivain rémoise évoquera son parcours et mettra au premier plan son dernier récit, LA MALCHIMIE, qui traite de la nocivité des produits phytosanitaires sur fond d’amour fraternel. Le livre s'est vu décerner deux prix littéraires, il est actuellement sélectionné pour deux autres prix.

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A Poitiers dans le cadre du beau Festival "Bruits de Langues", organisé par L'Université de Poitiers, UFR Lettres et Langues,
- le mardi 4 février à 18h30 je serai à la Librairie "La belle Aventure". Le débat autour de mon livre "La malchimie" sera animé par Catherine Rannoux, Professeur de Littérature française.
- Le mercredi 5 février à15 h30, je serai à l'UFR Lettres et langues, 1 rue Raymond Cantel, pour une rencontre-débat autour de mon parcours d'auteur et de "La malchimie" animé par Catherine Rannoux.
Portes ouvertes à tous, à toutes. Et à la joie de nos futures rencontres !

 

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Pour La malchimie, Gisèle Bienne a reçu à Garges, le 19 juin 2019,  le  prix Maurice Genevoix.

Remise du prix Maurice Genevoix - ville de Garches

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Le 5 octobre 2019,  au Festival du Livre de Mouans-Sartoux, Gisèle Bienne reçoit pour La Malchimie le prix du roman engagé pour la planète.

 

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Fête du Livre à Merlieux, Aisne. Gisèle BIENNE sera présente le dimanche 25 septembre 2019, matin et après-midi,  à  Merlieux, sous le chapiteau Littérature générale.  De 15h30 à 16h30, elle se trouvera à la Bibliothèque sociale de de Merlieux pour un débat autour de son livre La malchimie avec Dominique Lestrat.

 

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"Eco-dialogues" avec " Lectures vagabondes" à Bédarieux, Hérault, le mardi 8 octobre : Rencontre-débat avec Gisèle Bienne autour de La malchimie, à  18 heures .

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La vingt-cinquième heure du Livre, au Mans, 5 rue des Jacobins, les 12 et 13 octobre prochains  : Gisèle Bienne y sera présente le samedi 12 octobre après-midi et participera à une table ronde "La fin des paysans ?", avec Jean-Loup Trassard,  André Bucher et Pierre Schoentjes. Elle y sera également présente toute la journée du dimanche 13 octobre.

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A Reims, à la médiathèque Jean Falala, à 18 h 30, dans le cadre des lectures publiques organisées par le CaféGEM en partenariat avec la médiathèque, Gisèle Bienne lira des extraits de son livre, La malchimie, (Actes Sud).

 

Actualités

Paru  le 6 mars 2019 : La malchimie, éditions Actes Sud, "Un endroit où aller".

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D'autres articles sont parus, Télérama, L'Humanité, Le quotidien du médecin. Ils vont bientôt tous figurer  dans la rubrique "revue de presse". (On peut se référer au site des éditions Actes Sud pour ce livre.)

la malchimie, Ouest-France, Rosemary bertholom, le 11 mars 2019

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La Malchimie 2019-03-11-OUEST FRANCE-11
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la malchimie, le journal de la Haute-Marne, coups de coeur de Françoise (Ramillon)

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JLa Malchimie 10 mars 19 La hte Marne HM
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Et aussi Télérama, Libération, Le figaro Magazine, L'Humanité, la revue Europe, Diacritik, d'autres journaux,  tous ces articles figureront bientôt dans la rubrique "Revue de presse".

la malchimie, le matricule des anges, thierry cecille, le 14 mars 2019

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La Malchimie LE MATRICULE DES ANGES 14 M
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La malchmie, La provence, Jean-Rémi, Barland, Le 14 mars 2019

L'UNION du dimanche, 7 avril 2019 - Article de Gilles GRANDPIERRE


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Vendredi 15 juin 2018, à 18h30, à la médiathèque Jean Falala de Reims, dans le cadre des lectures publiques du CaféGEM, Gisèle Bienne lira des extraits des Fous dans la mansarde. Ces fous, ces revenants de La Première Guerre mondiale sauront nous surprendre de bien des façons. Ne manquons pas cet étrange rendez-vous...


AU HUELGOAT (en Bretagne, dans le Finistère près de Morlaix), du 10 au 13 mai 2018, sixième rencontre Victor SEGALEN, "Correspondances d'écrivains",  à L’École des filles, centre d'art. 

L'intervention de Gisèle BIENNE, le dimanche 13 mai à 16 h, traitera de la correspondance amoureuse de Guillaume APOLLINAIRE pendant la Grande Guerre, un véritable "chantier poétique". (Voir  le dossier joint concernant ces journées.)

Présentation de G. BIENNE : La plupart des soldats, parmi eux des écrivains, « tenaient » sur le front grâce aux lettres qu’ils écrivaient et recevaient. Ainsi, Apollinaire a nourri une abondante correspondance – lettres à des amis, à des confrères écrivains et journalistes et, surtout, à deux femmes aimées, Lou (Louise de Coligny-Châtillon) et Madeleine Pagès. Ces correspondances constituent un riche «chantier poétique», un potentiel de données qu’Apollinaire espérait vraisemblablement exploiter s’il survivait à cette guerre. Elles sont aussi le seul recours du soldat pour échapper à l’horreur par l’amour et la création.

 

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Au HUELGOAT (Bretagne, près de Morlaix),
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Gisèle Bienne, une heure avec Cendrars à "La compagnie des auteurs" sur France-Culture, le mercredi 22 novembre 2017, de 15 à 16 h : "Ecrire la guerre", de la Prose du Transsibérien à La main coupée. ( Blaise Cendrars a perdu le bras droit à la ferme de Navarin, dans la Marne, pendant la grande offensive de Champagne le 28 septembre 2015.)

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 Les fous dans la mansarde, sélectionné pour le prix Paris-Diderot Esprits libres.

 

LES FOUS DANS LA MANSARDE, roman, Actes Sud

 

Dans le silence envoûtant d’une mansarde rémoise, une dernière soirée d’adieu et de mémoire autour des fantômes de la narratrice : des proches, des anonymes ou des écrivains combattants jamais revenus des tranchées. Un roman qui dessine l’implacable sacrifice d’une génération. Et la plaie béante ouverte dans l’histoire de la littérature par la guerre et son héritage.
Présentation de l’éditeur : 

Elle est la petite-fille de Ludovic B., revenu de la Première Guerre sans son ami Gervais tombé devant Craonne. Le cerveau mangé par la terreur, Ludovic B. se réfugie dans l’alcool et dans la certitude que Jaurès le pacifiste a été assassiné pour raison d’état. Depuis sa mansarde rémoise ou arpentant la Marne, le Chemin des Dames, le plateau de Californie, elle évoque tour à tour le voisin de ses grands-parents, Théodore S., grand invalide, soulard magnifique, maculant le monument aux Morts de vin rouge, Rosa Luxembourg, Aragon, Cendrars, Yves Gibeau, Masson, Céline, Apollinaire, Ludwig Kirchner… Elle rassemble alors pour une dernière soirée d’adieu et de mémoire ses fantômes, lesquels se jouent de la guerre sur le mode de la fête et de la farce et elle entend Ludovic B. lui murmurer à l’oreille : “Trouve l’histoire...” Dans une forme de vagabondage aussi joyeux que mélancolique, la prose claire et épurée de Gisèle Bienne offre un contraste saisissant avec le désarroi de ses héros et les tableaux cruels qu’ils habitent. Sur les traces de Céline et de Pierre Lemaître, elle fustige l’absurdité de la guerre ainsi que l’hypocrisie d’une République qui honore ses victimes inutilement sacrifiées au combat, les “pauvres cons du front”, et laisse pour compte ceux qui y ont survécu. En toile de fond s’esquisse l’histoire familiale, l’ombre pernicieuse des non-dits, tous ces drames dissimulés au nom des convenances, l’inquiétude de l’auteur devant la condition imposée à l’écrivain par la société .

 

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Gisèle Bienne a été nommée Chevalier de l'Ordre national du Mérite. La médaille lui a été remise par Jean-Paul Bachy le 18 octobre 2016.

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Une chronique de la revue La faute à Rousseau n° 71, "Le livre qu'il n'aurait pas fallu", parue en février 2016 est consacrée à La Brûlure et téléchargeable à la  page de la revue de presse, paragraphe, presse écrite.


Rencontres, débats, colloques

Télécharger le programme

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journee-cendrars-reims2015.pdf
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Photographie du poète Georges Guillain, retour sur  les lieux de la blessure de Cendrars, la Champagne crayeuse.
Photographie du poète Georges Guillain, retour sur les lieux de la blessure de Cendrars, la Champagne crayeuse.

 

Nombreuses interventions en France : bibliothèques, librairies, centres culturels, manifestations autour du Centenaire de la Grande Guerre.

 

 Interventions  dans les collèges et lycées en partenariat avec la Maison des Ecrivains et de la Littérature, 67 bd de Montmorency, 75016, Paris.

 

Invitée à l'Université de Fudan à Shanghai au printemps 20015

et à l'été 2016.

Publication dans la revue ci-dessous



A Calais, au lycée Sophie Berthelot
A Calais, au lycée Sophie Berthelot
A Boulogne-sur-Mer
A Boulogne-sur-Mer

parutions Recentes

  • Aux éditions Actes sud,

La brûlure suivi d'une réédition de Marie-Salope.

 

Pour prendre connaissance  des articles et chroniques sur La brûlure, rendez-vous en page Revue de presse, Presse écrite.

 

A L'école des loisirs : Retrouver le petit frère
Aux éditions Châtelet-Voltaire, (diffusion Pollen), Le retour du loup, ouvrage collectif. Textes de Gisèle BIENNE, Thierry BEINSTINGEL, Armand GAUTRON, Henri-Pierre JEUDY.


Autour de la Grande guerre

Photo de Juliette Cheriki-Nort, printemps 2014
Photo de Juliette Cheriki-Nort, printemps 2014

Gisèle Bienne est l'auteur de quatre ouvrages évoquant la première guerre mondiale - Paysages de l'insomnie, Le cavalier démonté,  La ferme de Navarin, Les fous dans la mansarde - ainsi que d'un texte sur la craie des tranchées - Traces de la guerre 14-18 dans la Marne.

En ces années de commémoration du centenaire de la Première guerre mondiale, elle est ainsi invitée à présenter ces ouvrages, les sujets et paysages qu'ils évoquent.


Feuille de routes, Bulletin de L'association Internationale Blaise Cendrars, N° 54, contribution de G. Bienne : "Départementale 977"
Feuille de routes, Bulletin de L'association Internationale Blaise Cendrars, N° 54, contribution de G. Bienne : "Départementale 977"

La mémoire du métal

Le montage audiovisuel ci-dessus met en scène des objets métalliques et rouillés comme autant de traces et vestiges de la Première guerre mondiale. Il comporte des extraits lus du Cavalier démonté et de La ferme Navarin. Il a été réalisé par Juliette Cheriki-Nort et Joëlle Pautevin durant l'été 2014.

A paraître le 1er mars 2017, LES FOUS DANS LA MANSARDE, roman, Actes Sud, "Un endroit où aller"

Présentation de l’éditeur : Dans le silence envoûtant d’une mansarde rémoise, une dernière soirée d’adieu et de mémoire autour des fantômes de la narratrice : des proches, des anonymes ou des écrivains jamais revenus des tranchées. Un roman qui dessine l’implacable sacrifice d’une génération. Et la plaie béante ouverte dans l’histoire de la littérature par la guerre et son héritage.