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Pour la presse, concernant  mes derniers livres, se reporter à la rubrique "Actualités" de ce site. Merci.



Revue de presse

Radio

Quelques émissions parmi d'autres...

France Culture, Sur les docks, "La mémoire de l'eau", le 8 février 2010, Gisèle Bienne y lit des extraits de son roman je veux, Seuil 1983. https://www.franceculture.fr ›

La mémoire de l'eau – Villages engloutis sous la surface du lac de Der ... Sur les docks par Jean Lebrun ... ; Gisèle Bienne , écrivain ; Et la voix de Laurent Lederer .

 

France Culture, La fabrique de l'histoire, le 1er février 2008.

Coup de cœur d'Arlette Farge : La ferme de Navarin de Gisèle Bienne, Gallimard 2008.

https://www.franceculture.fr/...fabrique-de-lhistoire/histoire-actualite-table-ronde-des-his...

1 févr. 2008 - Histoire / Actualité : table-ronde des historiens en replay sur France Culture.

 

France Inter, L'humeur vagabonde, de Kathleen Evin, le 21 juin 2011,

Pour « Katherine Mansfield dans la lumière du Sud » Actes Sud.

Francis Carco, en 1949, avec grésillements d’époque, se souvient tendrement de Katherine Mansfield, morte en 1923, à 34 ans. Ils avaient été amants, durant la Grande Guerre, et surtout amis et compagnons d’écriture. Carco s’inspirant d’elle pour le personnage de Winnie dans « Les innocents », Mansfield lui dédiant quelques poèmes et lui empruntant des atmosphères du Paris des noctambules. Elle était née néo-zélandaise, devenue femme dans les brouillards de Londres, mais n’aspirait qu’à la lumière de la Riviera pour vivre et écrire encore. Qui lit aujourd’hui Katherine Mansfield ? Beaucoup de femmes écrivains, fascinées par sa fantastique capacité à décrire l’impalpable, les sentiments indicibles cachés derrière les petites choses du quotidien, les gouffres qui s’ouvrent sous les pas des gens apparemment heureux.

Gisèle Bienne, écrivain, la fréquente depuis longtemps. Elle lui consacre un petit livre plein de tendresse, « Katherine Mansfield, dans la lumière du Sud » paru chez Actes Sud.

 

France Bleu Champagne Ardenne, Invités spectacle, de Christelle Lapierre, le 11 avril 2017, autour des Fous dans la mansarde, Actes Sud. Entretien avec Gisèle Bienne.

https://www.francebleu.fr/emissions/invite-spectacles-france-bleu-champagne-ardenne/champagne-ardenne/l-auteure-marnaise-gisele-bienne-rend-hommage-aux-poilus

 

RCF, Au fil des pages, d'Elise Fischer, le 8 juillet 2013,

"Quelles traces laisse l'histoire en nos vies ?", L'étrange solitude de Manfred Richer de Gisèle Bienne, Actes Sud.

https://rcf.fr/culture/quelles-traces-laisse-lhistoire-en-nos-vies

 

"Des héros comme on les aime", le 18 juillet 2015,

La Brûlure suivi de Marie-Salope de Gisèle Bienne, Actes Sud.

https://rcf.fr/culture/livres/des-heros-de-romans-comme-les-aime

 

"Ce qui fait le sel de la vie", le 17 avril 2017,  Les Fous dans la mansarde, Actes Sud.

Gisèle Bienne nous dit son amour de l'écrit

Les fous dans la mansarde, de Gisèle Bienne,  Actes Sud.
Les fantômes de la narratrice se rappellent à son bon souvenir dans l'intime d'une mansarde rémoise. Elle est la petite-fille de Ludovic, soldat de la Grande Guerre, qui, dans les tranchées de Craonne, a perdu son ami Gervais... En quoi Rosa Luxemburg, Guillaume Apollinaire, Blaise Cendrars, et tant d’autres, peuvent-ils lui être d’un quelconque secours? La jeune lectrice se tient à l’écoute et entend le message. «“Trouve l’histoire”, lui intimait Ludovic.»
Gisèle Bienne poursuit une œuvre où elle peut dans chaque ouvrage nous dire son amour de l’écrit, des livres et des auteurs qui l’ont précédée.

A écouter, réécouter : <iframe src="https://rcf.fr/embed/1509619" frameborder="0" width="100%" height="220" ></iframe>

 

RCF Champagne Ardenne, Livre échange, de Thierry Livoir, le 17 avril 2017, Gisèle Bienne : la Première Guerre Mondiale, Les Fous dans la mansarde. Trois émissions de sept minutes chacune.

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(En cours)

 

FRANCE 3

Un livre un jour

d'Olivier Barrot, pour La ferme de Navarin.

www.ina.fr/video/3597087001

Dans un salon de la Cité internationale universitaire de Paris dans le 14ème arrondissement, Olivier BARROT reçoit Gisèle BIENNE pour son livre "La ferme de Navarin", récit qui évoque la ferme de Champagne où Blaise CENDRARS perdit sa main en 1915. L'interview est illustrée par un document filmé du paysage en noir et blanc.



Presse écrite


LES FOUS DANS LA MANSARDE, ACTES SUD, 2017


Gilles GRANDPIERRE, L'Union du Dimanche, le 26 mars 2017

"Gisèle Bienne et les fils du temps "

www.lunion.fr/22323/article/2017-03-24/gisele-bienne-et-les-fils-du-temps

Voilà donc de nouveau Gisèle sur la route... Dans le sillage de ses aînés illustres ou anonymes... Grand tour de manège mémoriel... On aimerait que la balade ne s'arrête pas. G. G.

Photo de Gilles Grandpierre
Photo de Gilles Grandpierre

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Gilles GRANDPIERRE, L'Union du 22 novembre 2016
Un coeur dans la mansarde Portrait de Gi
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Sandra BENEDETTI, Les fous
L'EXPRESS, du 12 au 18 avril 2017, Les
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Bienne chante en pagaille les entailles sanglantes de la terre où la vie repousse. Telle une stèle. S. B.

LA LIBRAIRIE de L'EXPRESS


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Gérad-Georges LEMAIRE, visuelimage.com,
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 La subtilité de cette fiction, c'est de parler de ce conflit surhumain par le témoignage direct des anciens combattants, mais aussi à travers la littérature, surtout celle des hommes qui l'ont vécue. La transmission familiale va de pair avec la transmission par les écrits. Et l'une sans l'autre ne saurait être complète. G.-G. L.


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Alphonse CUGIER, "Aux arts, citoyens !"Des livres qui mettent le monde à portée de main. Une certaine façon de l’habiter : aventures créatrices, textes pour l’intelligence, l’imagination et
LIBERTE HEBDO du 7 au 13 avril 2017.pdf
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La Quinzaine littéraire N°1172, 29-04-2017, "Autoportraits au feu".
Vanessa Aubert, LA QUINZAINE LITTERAIRE
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"Nous dansons sur les tombes / La mort n'en saura rien" (Apollinaire). En exergue aux Fous dans la mansarde. Ecriture de l'héritage. Dignité, humanité, couleur et âme...  La mansarde est le lieu où les morts-fous réapparaissent, un tunnel de transmission de la guerre dans lequel nous sommes aspirés, un espace hors-temps afin de communier. V. A.


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Revue EUROPE, Colette CAMELIN Les fous
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« Elle est dans la mansarde comme dans le compartiment d’un train qui roulerait dans la nuit, s’arrêterait à certaines gares mais n’aurait pas de terminus. » C’est le train fou de Cendrars,  "l’autre transsibérien" lancé dans les paysages du front de Champagne où retentissent les sonnailles de villages anéantis à jamais, Hurlus, Tahure, Ripont, Nauroy, Perthes-les-Hurlus… La prose de Gisèle Bienne bat à un rythme soutenu qui tient du jazz. C. C.

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Ce N° 1057 est consacré à Pierre Bergougnioux. Couverture et sommaire.
Revue Europe, N° 1057, mai 2017.pdf
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LE MAGAZINE LITTERAIRE, N° 579/Mai 2017 – 13

Bernard Morlino, ON NE DOIT PAS S'EN PRIVER :  Les fous dans la mansarde (Actes Sud).

 


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FOCUS VIF- Belgique Hebdomadaire 19 mai
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Avec beaucoup de sensibilité et de pudeur, elle convoque pour un ultime rendez-vous ceux qui ont donné leur vie ou leur raison au conflit mondial...


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PORTRAIT de Gisèle BIENNE : HISTOIRES D'HISTOIRE, d'Aymeric HENNIAUX, photo de Cyrille BEUDOT.
Reims.Attractive N°juillet-août 2017.jpe
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"Gisèle Bienne fait partie de ces plumes qui défient le temps pour en libérer des souvenirs et tirer à l'Histoires ses récits les plus intenses."


L'Union du 1er août 2017,  quatre romans sur la ville de Reims à emporter en vacances, avec le libraire Jackie Weiss, auteur de La ronce et le coquelicot.

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L'UNION du 1er août 2017, Quatre romans
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LA BRÛLURE suivi de Marie-Salope,  Actes Sud, 2015.
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Gilles GRANDPIERRE
La Brûlure, L'UNION du 12 avril 2016.pdf
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La Brûlure commence par un morceau de bravoure de trente pages. Un chef-d'œuvre  du genre."

Gilles Grandpierre

 

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Gérald CAHEN, La faute à Rousseau n°71, février 2016.
La-faute-a-Rousseau-71, la-brulure.pdf
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Marine Landrot, Telerama n°3417 du 11 au 17 juilet 2015
telerama-07-15-brulure.pdf
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Florence Bouchy
le-monde-des-livres-07-15-brulure.pdf
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Georges Guillain, blog des Découvreurs du 16 mai 2015
blog-decouvreur-mai15-brulure.pdf
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Claire Devarrieux
LIBERATION-16-04-15-brulure.pdf
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Dominique Conil
MEDIAPART-14-04-15-brulure.pdf
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Monique Verdussen, La libre Belgique
libre-belgique-brulure-avril15.pdf
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Gérard-Georges Lemaire (http://www.visuelimage.com)
gerard-georges-lemaire-brulure.pdf
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François Xavier (http://salon-litteraire.com/fr/)
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LA FERME DE NAVARIN,  Gallimard, "L'un et l'autre"


Cendrars 2015Jérôme GARCIN, Le Nouvel Observateur,  8 janvier 2008, à propos de La ferme de Navarin. On peut encore le trouver en ligne ici.
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obs-garcin-navarin-01-08.pdf
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Et ci-dessous, un extrait de La ferme de Navarin lu par Jérôme GARCIN dans Marque-Page.

La main amie de Cendrars, par Bernard Morlino, le Figaro, 10 avril 2008,  La ferme de Navarin

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Bernard MORLINO
La ferme de Navarin
le-figaro-10-04-08-navarin.pdf
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Le Monde des Livres du 7 mars 2008, à propos de La ferme de Navarin

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Nicolas OFFENSTADT, Fantômes de la Grande Guerre
La ferme de Navarin
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La Ferme de Navarin

 

Les champs s'étendent à perte de vue, la terre, qui toujours fut ici ingrate, pouilleuse, est désormais un vaste cimetière, Friedhof, comme l'on dit en allemand, lieu de la paix ultime. Sitôt qu'on la remue, réapparaissent douilles, obus, lambeaux d'objets personnels - ou os. C'est l'hiver, il gèle à l'aube, l'horizon s'étend, nu et infini : la Champagne, la Somme, l'Argonne sont des lieux sinistrement inspirés. Gisèle Bienne va à la rencontre de ses morts : Cendrars, d'abord, mais aussi tous ceux, connus ou inconnus, qui ici durent souffrir, dans leur chair et leur âme, puis périrent ou survécurent, blessés, amputés, abrutis ou révoltés à jamais. Comme souvent dans cette belle collection, l'un et l'autre, ici, dialoguent, méditent, tour à tour : des extraits de lettres de Cendrars, de ses poèmes, cèdent la place à des paroles d'Yves Gibeau, collectionnant pieusement les restes des tranchées, ou à cette sorte de reportage intime, concret, quotidien, de Gisèle Bienne.
Elle mêle, avec infiniment de tact, de précaution, comme on chuchote entre les tombes un jour de Toussaint, des choses vues d'aujourd'hui, de la vie qui en ces lieux s'obstine, au chaos de souvenirs et d'images de cette guerre que l'on dit Grande, et qui le fut surtout par l'énormité des massacres et des souffrances. Comme dans Shoah, il s'agit de tenter de trouver le lieu : " Ici fut la ferme de Navarin " peut-elle écrire, à la recherche de l'endroit où Cendrars perdit son bras droit, lors d'un assaut. Mais " cette ferme, on ne l'a pas reconstruite ", elle n'est plus qu'" un tumulus recouvert d'herbes et entouré de broussailles. " Ici règne le vide - mais " il ne faut pas craindre de parler dans le vide ; avec les morts, on ne sait jamais. "

La Ferme de Navarin de Gisèle Bienne
Gallimard, 131 pages, 14,50 e


Le Matricule des Anges La Ferme de Navarin par Thierry CECILLE

 

Les champs s'étendent à perte de vue, la terre, qui toujours fut ici ingrate, pouilleuse, est désormais un vaste cimetière, Friedhof, comme l'on dit en allemand, lieu de la paix ultime. Sitôt qu'on la remue, réapparaissent douilles, obus, lambeaux d'objets personnels - ou os. C'est l'hiver, il gèle à l'aube, l'horizon s'étend, nu et infini : la Champagne, la Somme, l'Argonne sont des lieux sinistrement inspirés. Gisèle Bienne va à la rencontre de ses morts : Cendrars, d'abord, mais aussi tous ceux, connus ou inconnus, qui ici durent souffrir, dans leur chair et leur âme, puis périrent ou survécurent, blessés, amputés, abrutis ou révoltés à jamais. Comme souvent dans cette belle collection, l'un et l'autre, ici, dialoguent, méditent, tour à tour : des extraits de lettres de Cendrars, de ses poèmes, cèdent la place à des paroles d'Yves Gibeau, collectionnant pieusement les restes des tranchées, ou à cette sorte de reportage intime, concret, quotidien, de Gisèle Bienne.
Elle mêle, avec infiniment de tact, de précaution, comme on chuchote entre les tombes un jour de Toussaint, des choses vues d'aujourd'hui, de la vie qui en ces lieux s'obstine, au chaos de souvenirs et d'images de cette guerre que l'on dit Grande, et qui le fut surtout par l'énormité des massacres et des souffrances. Comme dans Shoah, il s'agit de tenter de trouver le lieu : " Ici fut la ferme de Navarin " peut-elle écrire, à la recherche de l'endroit où Cendrars perdit son bras droit, lors d'un assaut. Mais " cette ferme, on ne l'a pas reconstruite ", elle n'est plus qu'" un tumulus recouvert d'herbes et entouré de broussailles. " Ici règne le vide - mais " il ne faut pas craindre de parler dans le vide ; avec les morts, on ne sait jamais. "

La Ferme de Navarin de Gisèle Bienne
Gallimard, 131 pages, 14,50 e



L'ETRANGE SOLITUDE DE MANFRED RICHTER, ACTES SUD, 2013



L'ami allemand par  Florence BOUCHY, Le Monde des Livres du  31 mai 2013

Avec L'Etrange solitude de Manfred Richter, Gisèle Bienne aborde de manière originale et sensible les relations franco-allemandes de l'après-guerre.  "

 

Gilles GRANDPIERRE, L'Union du 3mai 2013

L'étrange solitude de Manfred Richter, "la romancière rémoise Gisèle Bienne explore la face mal connue d’une certaine relation franco-allemande. Troublant et limpide. "

www.lunion.fr/culture.../le-nouveau-roman-de-la-remoise-gisele-bienne-ia0b0n34308

 

Panorama

"Un beau roman qui mêle la nostalgie à l'énergie et à la fraicheur de l'adolescence."

 

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Michel LAMART, L'ECOLE des LETTRES, Manfred Richter
Hélène et Manfred partagent beaucoup de points communs. Tous deux sont tenus au secret (au double sens du terme) dans des univers parallèles.
L'étrange solitude de Manfred Richter, A
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  • Une rencontre avec des lycéens de Calais autour de la guerre 1914-1918
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